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Le premier vice-président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) n’aura pas survécu à son accident du 19 janvier dernier. Et c’est avec un grand regret que l’on ne reverra plus le dynamique et virevoltant journaliste Kanga Rovia, parcourir les rédactions pour s’enquérir de leur réalité. 

 

Hélas ! Mille fois hélas ! Le « monde mondial » a définitivement quitté ses confrères de la presse nationale, ses amis conseillers de l’Unjci et ses amis du monde sportif.

La mort, ce mal qui frappe toujours mais auquel on ne s’habitue jamais, l’a arraché à l’affection des siens et de la corporation, ce jeudi à la Polyclinique internationale Sainte Anne Marie (Pisam).

« Je suis avec l’épouse de Rovia et les membres de sa famille. Le pire s’est produit. Nous sommes en train d faire les formalités », a lâché Traoré Moussa, président de l’Unjci, ce jeudi matin depuis la Pisam.

 

L’on aura compris que ce qu’on craignait, venait de se produire, le départ définitif pour l’au-delà.

En partance pour Yamoussoukro, le vendredi 19 janvier dernier, le premier vice-président de l’Unjci a fait une sortie de route avant de faire cinq tonneaux à quelques encablures de Toumodi. Evacué à l’hôpital général de la capitale politique puis transféré à la Pisam, Rovia Kanga avait retrouvé ses esprits et même donné les circonstances de l’accident à ses visiteurs. Au point de redonner un espoir de survie.

Malheureusement et contre toute attente, le directeur de publication du journal « le Mandat » sera admis en réanimation, le vendredi 27 janvier dernier suite un problème de sang au niveau du cerveau.

 

C’est avec consternation que le monde de la presse apprend la triste nouvelle de sa mort, ce jeudi aux environs de 11 heures.

 

A.K.