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« Insertion de la femme dans tous les secteurs d’activités », c’est le thème de la 2ème édition d’Africa jamming festival qui aura lieu le 1er novembre 2017 à l’espace Allocodrome de Yopougon-Niangon Sud. Ce festival consacré à la musique et à la gastronomie a pour objectif de détecter les nouveaux talents qui y seront pour partager leur expérience. Et c’est le jazz, le gospel et la variété qui seront au menu. Ozouah Mam’s, le duo Stéphane bassiste et Eva Asa bassiste et ceux qui viendront de 5 pays autre que la Côte d’Ivoire promettent des prestations époustouflantes. Hier, face à la presse, Xavier Guei, commissaire général  du festival et David Tayoro, parrain artistique ont livré les grandes articulations. A en croire le premier cité, ce festival sera ouvert à partir de 12 heures et les prestations démarreront dès 14 heures. « Les musiciens sélectionnés vont faire ‘’un one master’’ sur la scène pour partager leurs expériences. Si c’est un orchestre, tous les membres du groupe se présenteront sur la scène pour faire les démonstrations d’instruments. La cérémonie d’ouverture sera faite par une troupe venant du nord du pays. Le Togo, la France, l’Algérie, la Centrafrique, le Burkina-Faso participeront à ce festival musical et gastronomique. Des musiciens de ces pays viendront pour faire montre de leur talent », informe-t-il. pour à David Tayoro, parrain artistique de ce festival, l’Africa jamming festival est une plateforme d’échanges de talents. « Grâce à Africa Jamming festival de l’année dernière, deux groupes ivoiriens ont pris part à un grand festival au Cap-vert. Ce qui veut dire que cette rencontre relève les musiciens qui n’ont pas de moyen pour se faire connaître. C’est d’ailleurs pourquoi l’entrée est gratuite, pour permettre aux directeurs de festival et aux producteurs d’artistes de faire leur détection », fait-il savoir, avant d’ajouter ceci : «  L’artiste, c’est  un ensemble. Il y a des fonctions. Le musicien est le moteur du chanteur. Un morceau de musique est fait de plusieurs musiciens et de la voix ».

R. Konan