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Le Rassemblement des enseignants républicain a adressé, hier ses vives félicitations au président de la République, après la formation du nouveau gouvernement.  Le RER qui se retrouvait pour la première fois après la tenue des élections présidentielles d’octobre dernier, a fait le point de ses activités, analysé la situation socio-politique avant de dégager les perspectives, au cours de sa rencontre au siège du Rassemblement des républicains (RDR).

 

« Depuis les élections présidentielles, on ne s’est pas encore retrouvé, c’est l’occasion pour le bureau du RER de se retrouver, de faire le point, le rôle que notre structure a joué, féliciter le président de la République pour la formation du nouveau gouvernement. Pour la première fois, il y a eu des élections sans calcul macabre parce que sans effusion de sang ni violence, ni éclat de voix ni morts », a fait savoir le président du RER.

 

Selon Kouyaté Abdoulaye, le RER a joué un rôle important dans le processus électoral notamment en mettant 40 bâches à la disposition du parti pour la formation et l’encadrement des militants, en représentant le candidat du RHDP dans les bureaux de vote. D’autre part, le RER a contribué à une école pacifiée en s’investissant dans la paix et la tranquillité à l’école. S’agissant des perspectives, Kouyaté Abdoulaye entend poursuivre l’implantation de la structure spécialisée qu’est son mouvement.

« Au congrès de 2014, nous étions à 147 sections. Aujourd’hui, nous sommes à 550 sections, il faut investir les sections déjà installées et voir dans quelle mesure on peut installer d’autres sections. Notre souci est de faire en sorte que dans toute l’étendue du territoire national, il y ait une section du Rassemblement des enseignants républicains », a expliqué le président du RER.

 

Déjà, à partir du 30 janvier prochain, le RER démarre sa tournée d’investiture à Dabou. Par ailleurs, les enseignants du RDR préparent leur prochain symposium. « Il s’agit de mobiliser tous les militants du RDR autour de la production de manuels pour retracer l’histoire de notre pays. Si nous ne le faisons pas, l’histoire va nous juger », a estimé Kouyaté Abdoulaye.

A.K.