astou-mbenejpg1566860211.jpg

Je m’appelle Monique A. je suis la femme de Monsieur A Franck, un haut cadre de ce pays. Je suis une belle femme : teint clair naturel, fesses bien rebondies, cou strié, je suis celle dont rêvent tous les hommes de notre quartier.

Mon mari est un homme malade de jalousie. Pour me garder pour lui seul, il me maintient presque en prison : pas de sortie, pas d’amies, pas de téléphone portable bref, je suis sa chose à lui tout seul. Cette situation pour le moins inconfortable m’agaçait réellement, mais que pouvais-je contre le tout puissant A. Franck?

Un jour, j’avais attaché ma serviette prête à prendre mon bain quand on sonna au portail. Le gardien et la bonne étaient sortis faire des courses pour mon mari. Ce dernier, certainement occupé me cria de son bureau de maison d’ouvrir la porte et que certainement le gardien était de retour.

Je tirai sur le gros portail en fer sans même demander qui était là. J’eu la surprise de voir son mécanicien. Il me dévora des regards ne sachant pas quoi dire. Je savais que je faisais beaucoup d’impressions sur les hommes. Il entra et bafouilla quelque chose à propos de la voiture du patron. Je l’installai au garage et je rentrai pour appeler mon mari.

A mon retour de la douche, mon mari était parti au travail. Le mécanicien quant à lui s’activait sous la voiture de Franck. A dire vrai ce fameux mécanicien n’était pas mal. Il était bien bâti avec un beau sourire que j’adorais beaucoup.

La semaine suivante, il revint encore à la maison, mais cette fois en l’absence de mon mari qui assistait à un séminaire à Bassam. J’étais dans mon peignoir jaune près de la piscine. Il faisait chaud et je voulais un peu de fraicheur. J’avais sous mon peignoir, un mini string tout blanc que m’avait offert Franck la veille. Je m’assis sur un banc et laissai tomber mon peignoir. Mes seins se dressèrent telle une tour effrontée et mes superbes jambes fuselées restèrent nues.

Le mécanicien se mit à me mater d’un air envieux. Je remarquai qu’une bosse se formait sous sa ceinture. Mes jambes étaient croisées, je décidai de les ouvrir un peu plus. La bosse dans le pantalon se précisait, le mécanicien bandait. Je me relevai et m’approchai de lui. Il avalait nerveusement sa salive d’un air gêné. Je passai ma main sur la bosse de son pantalon et j’entrepris d’ouvrir sa fermeture éclair. Il ne s’y opposa pas, bien au contraire il m’y aida et libéra son membre chaud tout tendu. Je le caressai un instant et laissai tomber mon string en tirant sur les cordelettes qui le retenaient. Le mécanicien tomba à genou et enfoui son visage dans ma fente en jouant de la langue. Je me mis à gémir doucement. Il me retourna et me prit par derrière. Il pénétra son membre en moi et donna de vigoureux coups de rein rapides. Je n’en pouvais plus! Je sentis une boule de feu naître en moi, elle grandit, grandit et fini par me faire exploser. Je me mis à hurler littéralement. Je crois que je venais de jouir… pour la première fois. Je dis au mécanicien que notre aventure s’arrêtait là et que je ne recommencerai plus cela. Il semblait vexé. IL retourna à son garage la tête baissée.