« Non à la destruction des forêts françaises – Non aux forêts monotypes »
Jusqu’ici, en France, nous étions relativement épargnés par les feux de forêts. Mais, avec les chaleurs des récents Feux de forêts en Algérie et au Portugal, des chaleurs qui sont probablement remontés jusqu‘à nous, et avec un Soleil de plus en plus brûlant, voilà des conditions qui favorisent l’assèchement des sols et de la végétation et favorisent la survenue d’incendies.
Que les incendies soient volontaires ou pas, il est bien probable qu’avec ce soleil brûlant, tout morceau de verre, toute surface réfléchissante, puisse servir de loupe et provoquer un incendie.
Rendons-nous compte des conséquences de la perte continuelle de surfaces forestières.
Dans la Nature, seuls les arbres ont des racines suffisamment longues pour puiser de l’eau dans les profondeurs des sols.
La végétation aux racines courtes, a besoin de pluie ou d’arrosage pour survivre.
En coupant ou en détruisant des arbres, l’Humain prive la Nature de ses « réserves naturelles d’eau douce ».
En effet, un arbre absorbe quotidiennement de grandes quantités d’eau.
Et, cette eau stockée dans ses feuilles ou ses aiguilles, l’arbre la restitue à l’atmosphère lorsqu’il transpire.
De par sa transpiration, l’arbre permet la formation de nuages qui retomberont en pluie.
L’arbre a de nombreux atouts et l’un de ces atouts, c’est que l’arbre expire de l’oxygène.
L’oxygène est indispensable à l’entretien de l’épaisseur de la couche d’ozone stratosphérique qui protège la Terre de l’intensité du soleil. En effet, la couche d’ozone stratosphérique (O3) n’est composée que d’oxygène.
Ne pas lutter activement contre la Déforestation, ne pas s’en faire un devoir politique International, c’est accepter que la Terre se réchauffe, et c’est en accepter toutes les conséquences.
Geneviève MARCK
NICE, France