Béoumi / Le village de Djéviessou reçoit une ambulance neuve du député de Diabo-Languibonou
Depuis plusieurs décennies, les populations du village de Djéviessou, localité située à 12 km de Béoumi courent derrière une ambulance pour l'évacuation des malades vers d'autres centres de santé. Elles peuvent pousser un ouf de soulagement grâce au député Jacques Assahoré Konan. Il a mis fin à la souffrance de ces populations en faisant don d'une ambulance médicalisée flambant neuve au centre de santé urbain de Diéviessou. Le député a remis la clé au préfet qui à son tour l’a remise au directeur départemental de la santé de Béoumi.
La remise de cette ambulance a eu lieu, le vendredi 5 mai 2023 sur la place publique du village de Djéviessou, en marge de la double cérémonie de l'investiture du président du Mouvement de soutien aux actions de Jacques Assahoré Konan (Msajak), Romaric Kouassi.
Jacques Assahoré Konan qui s'est donné pour mission, l’amélioration des conditions de vie des populations, a indiqué que ce don vient en réponse aux sollicitations des populations et cadres de la localité en matériel roulant pour faciliter l’évacuation et la prise en charge rapide des malades vers des centres plus appropriés. Il a également invité le corps médical à en faire bon usage.
Cette ambulance médicalisée, selon l’élu de Diabo-Languibonou, a été offerte aux populations au nom du président de la République, Alassane Ouattara.
La Fédération des Mutuelles de Développement de Diéviessou (Femuddi) présidée par Maurice Kouassi et qui regroupe six villages notamment Memaly, Bossi, Andi, Zendê, Alluibo et N'zoukouri, a au nom des populations, traduit sa gratitude et la reconnaissance au député, parrain de ladite cérémonie. Selon le président, il ne cesse d’œuvrer pour le bien-être de ses parents du Gbêkè. A en croire le porte-parole de la population, ce véhicule permettra l’évacuation rapide et dans le confort des malades et des femmes en travail vers d’autres établissements sanitaires ayant un plateau technique plus élevé. « Grâce à vous, les malades et les femmes enceintes ne seront plus transportés sur des motos vers d’autres centres de santé avec tous les désagréments que cela occasionnait », a-t-il indiqué, en présence du maire de Bé du directeur régional de la santé.
O.K.
Correspondant régional